Durée : 1h30
PROCHAINEMENT EN TOURNÉE
JE M’APPELLE ASHER LEV
Pour la première fois sur scène, l’adaptation française de la pièce à succès
d’Aaron Posner tirée du roman de Chaïm Potok
Adaptation française et mise en scène de Hannah-Jazz Mertens
Avec Guillaume Bouchède, Stéphanie Caillol, Martin Karmann ou Benoît Chauvin
SUCCÈS AVIGNON OFF 2022 & 23
Dans le Brooklyn d’après-guerre, Asher Lev veut devenir peintre à tout prix, contre la volonté de sa famille, de sa communauté et de ses traditions.
Asher Lev dessine comme il respire. L’histoire d’un jeune juif orthodoxe de Brooklyn, qui, aux portes du monde prodigieux de l’art, devra choisir : obéir aux exigences des siens et à son éducation religieuse, ou s’abandonner à son destin exceptionnel. Une pièce sur les affres de la création et les déchirements intimes, culturels et spirituels.
« En tant qu’artiste, tu n’es responsable de rien, ni de personne, si ce n’est de toi et de ta vérité. »
PROCHAINEMENT EN TOURNÉE
Durée : 1h30
JE M’APPELLE ASHER LEV
D’après la pièce d’Aaron Posner Adaptée du roman du Chaïm Potok
Adaptation française et mise en scène de Hannah-Jazz Mertens
Avec : Guillaume Bouchède, Stéphanie Caillol, Martin Karmann ou Benoît Chauvin
Assistante mise en scène : Jade Molinier
Musique : Anne-Sophie Versnaeyen
Scénographie : Capucine Grou-Radenez
Lumières : Bastien Gérard
Costumes : Bérengère Roland
Une Production Théâtre des Béliers Parisiens
Contact diffusion : Les Béliers en tournée / Camille / 07 86 41 93 71 / camille@beeh.fr
Hannah-Jazz Mertens – Metteuse en scène – Adaptatrice
Depuis son plus jeune âge, Hannah-Jazz est passionnée par l’art sous toutes ses formes et plus particulièrement par l’écriture, le théâtre, le chant et la musique. En 2016, elle intègre donc l’ECM de Paris pour y suivre une formation artistique professionnelle pluridisciplinaire. Cette formation lui offre l’opportunité de participer à différents spectacles, interprétant des rôles variés allant d’Anne d’Autriche, reine de France (D’Artagnan !), en passant par Collins, transgenre à New-York dans les années SIDA (RENT), jusqu’à Miss Dilly, prof de chant alcoolique aux compétences douteuses (Un jour à New York).
À sa sortie de l’école, étant depuis toujours attirée par la mise en scène et ayant pu l’appréhender lors de sa formation grâce à des exercices, elle se lance dans l’assistanat mise en scène aux côtés de Ned Grujic sur Sherlock Holmes – Le chien des Baskerville. En parallèle, elle a aussi l’occasion de travailler en doublage. Passionnée par l’écriture, elle fait aussi partie d’un groupe en tant qu’auteure-compositrice-interprète.
C’est avec un plaisir non dissimulé qu’elle se lance aujourd’hui dans ce premier projet, Je m’appelle Asher Lev.
Guillaume Bouchède – Aryeh Lev – Jacob Kahn – Le Rebbe
Formé tout d’abord au Conservatoire National de Marseille, il poursuit ensuite sa formation au cours Jean Périmony. Il s’est illustré depuis dans de nombreux domaines comme les spectacles musicaux : Ned Grujic l’a mis en scène dans « Hairspray » et « La famille Addams », Hervé Devoldère dans « Les fiancés de Loches » ou encore Anne Bouvier dans « The full Monty ». Au cinéma, sous la direction de A. de Caunes « Coluche », Loraine Levy « Knock » , Olivier Baroud « Les Tuches 3 & 4 », Alexis Michalik « Edmond » , Méliane Marcaggi « Belle fille ». Il prête aussi sa voix au chien dans « Le grand méchant renard » César 2018 du meilleur film d’animation.
Parallèlement à son activité de comédien, il met en scène plusieurs pièces de théâtre : « La maison de Bernarda Alba », « Folle Amanda » , « George et Margaret » , « L’amuse gueule » et plusieurs spectacles musicaux : « Charlemagne », « I love you ,You’re perfect, now change », « Raiponce et le prince aventurier », « Pinocchio le conte musical ».
Il a aussi codirigé la Comédie des 3 bornes de 2005 à 2008, fondé et assuré les cours au sein de Roller Comédie (Ecole de théâtre professionnelle pour adolescent) de 2001 à 2008 et a dirigé l’École de Comédie Musicale de Paris de 2009 à 2014 .
Stéphanie Caillol – Rivkeh Lev – Anna Schaeffer
Après 3 ans de formation en art dramatique, chant et danse, elle fait ses premiers pas sur scène dans la comédie musicale «Chance!» d’Hervé Devolder. Au fil des années c’est essentiellement le théâtre qui va lui faire un très joli sourire. Après Jupe courte et conséquences d’Hervé Devolder, c’est auprès d’Anny Duperey, et Dominique Pinon qu’elle jouera en 2013 le rôle d’Irma Lambert dans «La Folle de Chaillot», mis en scène par Didier Long à La Comedie des Champs Elysées. Quelques mois plus tard, elle rejoint la fabuleuse aventure du «Porteur d’histoire», d’Alexis Michalik au Studio des Champs Elysées et tourne également dans le premier court métrage d’Alexis, «Au Sol», primé dans de nombreux festivals. En 2015, elle joue au côtés d’Urbain Cancelier, Lorànt Deutsch, Stéphane Guillon et Eric Métayer dans «Le Système», d’Antoine Rault, mis en scène par Didier Long au Théâtre Antoine. En 2016, au Théâtre du Palais Royal, elle a la chance de vivre la création d’Edmond, d’Alexis Michalik, avec 11 autres comédiens. Extraordinaire aventure humaine qui les emmènera vers un joli succès. Elle joue actuellement à La Scala dans «Une histoire d’amour», d’un certain Alexis Michalik.
Martin Karmann – Asher Lev
Il se forme trois ans à l’école Claude Mathieu où il monte en atelier d’élèves de troisième année « Kids » de F. Melquiot. En septembre 2013, il intègre l’ESCA où il joue professionnellement dans « le Mariage Forcé et Les Précieuses Ridicules » de Molière, sous la direction de J.L Martin Barbaz, ainsi que « Beaucoup de bruit pour rien » de Shakespeare sous la direction de Hervé Van der Meulen. Il a également travaillé avec Yveline Hamon et Alain Batis au Festival de l’ARIA à Olmi Cappella, ainsi qu’avec la Compagnie Isabelle Starkier. Il joue ensuite sous la direction de Stéphanie Loik dans « La fin de l’homme rouge » puis sous la direction de Paul Desveaux dans « Le garçon du dernier rang » pour une tournée en Suisse et au théâtre Paris-Villette en France. Il a tourné à la télévision pour Nicolas Cuche dans « Les bracelets rouges », au cinéma dans « Belle-Fille » de Méliane Marcaggi. C’est l’un des rôles principaux de « La dernière vie de Simon » de Léo Karmann. Il intègre la promotion 2019 des “Talents Cannes Adami” où il joue sous la direction de Suzanne Clément. Il joue ensuite dans le spectacle « No Limit » de Robin Goupil, créé à Asnières et programmé au théâtre du Train Bleu pour le festival d’Avignon 2021.
Benoît Chauvin – Asher Lev
Après sa formation chez Jean-Laurent Cochet, Benoît Chauvin se retrouve devant la caméra de Loïc Paillard, d’abord pour un court-métrage Et on mangera des fleurs (pieds nus sur des orties), avant de tenir le rôle principal dans son dernier long-métrage, Les Étoiles Restantes, prix du public au Champs-Élysées Film Festival 2017. Il tourne également sous l’objectif de Whit Stillman, dans la série Cosmopolitan.
À la télévision, il est Michel dans la série Scène de Ménage, sur M6.
Au théâtre, il travaille régulièrement sous la direction de Clément de Dadelsen qui lui confiera des rôles exigeants comme celui de Dom Juan ou du Vicomte de Valmont.
Dessin contrarié – Une réussite.
Nul manichéisme, ici. Chaque personnage est aux prises avec ses propres dilemmes et contradictions. Le fils, dont chaque coup de pinceau est une méditation profonde sur le monde qui l’entoure, est déchiré entre son désir de suivre sa voie et la peur de décevoir ses parents. Lesquels débordent d’amour pour leur enfant, mais le dogme plombe bien sûr leur compréhension de sa passion. Inutile de vous faire un dessin, mais Hannah-Jazz Mertens en fait une belle pièce.
Il a marqué les esprits à Avignon, il triomphe à Paris. L’universalité des thèmes abordés éclate dans chaque scène, chaque dialogue. La mise en scène, très fine et très aboutie, transcende admirablement le sujet pour en faire un moment de pur théâtre. D’abord captivant, puis bouleversant.
Le trio d’interprètes nous livre une réflexion magistrale sur le sens de la famille, la transmission, l’identité et le sacerdoce de l’art.
Ils sont trois sur scène pour donner à ce texte toute sa puissance. Adaptée du roman « Je m’appelle Asher Lev » de Chaïm Potok, écrivain américain ayant lui-même dû lutter pour vivre sa passion, cette pièce est tout simplement saisissante.
Le balancement entre le tremblement de terre qui secoue le cercle familial et la drôlerie qui, par moment, en résulte est l’une des grandes qualités de cette pièce qui sait, en outre, si bien parler de la mission de l’Art et de la responsabilité de l’artiste. Tenu en haleine par un discours léger, tellement subtil, le spectateur se laisse embarquer dans cette histoire captivante d’un bout à l’autre. Dans l’irréprochable adaptation et mise en scène de Hannah-Jazz Mertens, les trois comédiens sont en osmose parfaite avec le texte et jouent avec une délicatesse peu commune. Lire l’article en entier
Un spectacle à ne pas manquer, une ode à la liberté de création, à l’identité multiple.
La mise en scène est fluide ; la scénographie et les lumières, très réussies, créent de véritables tableaux. Dans le rôle d’Asher, Martin Karmann est une révélation. Stéphanie Caillol est bouleversante. Guillaume Bouchède est fabuleux. Lire l’article en entier
Quand la vocation se heurte à la tradition. Un régal.
Saluons la réussite de cette aventure qui réunit tout ce qui est indispensable à un spectacle réussi : un texte solide et fort, des comédiens talentueux et une mise en scène enlevée. Ils ne sont que trois comédiens et pourtant la pièce brille de nombreux personnages et des émotions qui rendent cette histoire vibrante. Lire l’article en entier
Une mise en scène et une direction de comédiens qui donne une palette de couleur des sentiments humains du plus cruel au plus délicat.
Servie par une très belle distribution au jeu sensible, l’histoire de ce drame entre un père intransigeant et un fils qui n’aspire qu’à respirer hors de la cage qui lui est imposée pose tout le problème de l’antagonisme entre l’Art et les Cultures. Quelles sont les limites de la foi qui se veut généreuse et altruiste face à “l’art“, qui se veut libre et éclairant ? Un combat à âmes inégales. Une tragédie familiale qui pose les bonnes questions. Lire l’article en entier
La superbe leçon de vie d’Asher Lev
Magistral, le roman de Chaïm Potok aborde le thème du génie artistique, des déchirements culturels, spirituels et intimes que cela entraîne bien souvent. Le travail de la jeune Hannah-Jazz Mertens est fantastique. Son adaptation retranscrit avec une belle justesse toute la sensibilité du roman. On ressent de l’empathie pour cette famille qui va se retrouver crucifiée au nom de la grandeur de l’art ! Sa mise en scène est des plus réussies. Il est beau, ce décor transformable. Les comédiens sont extraordinaire ! Marie-Céline Nivière Lire l’article en entier
♥♥♥♥
Véritable plaidoyer sur la création et la liberté d’expression dans un univers entravé par le poids du passé et de la tradition. La mise en scène est émérite, la scénographie originale. Quant aux interprètes, ils sont tous remarquables.
L’importance de la Musique
La musique occupe une place très importante dans la tradition hassidique. Comme dans beaucoup de religions, le chant est omniprésent dans les prières et est indispensable lors des fêtes ou autres événements importants de la communauté. C’est donc tout naturellement qu’elle a sa place dans le spectacle. En plus d’airs traditionnels qui nous plongeront dans l’univers dans lequel évolue Asher depuis sa plus tendre enfance, nous aimerions créer un univers musical illustrant l’intériorité du personnage d’Asher. C’est pour cela que nous pensons nécessaire de travailler avec un compositeur.
Note d’intention :
Je m’appelle Asher Lev est l’histoire d’un petit garçon doté d’un don bien plus grand que lui: le dessin. Bien plus qu’il ne le possède, c’est son don qui possède Asher et il ne peut s’empêcher de l’exercer. Cependant, né dans la communauté juive hassidique, il se heurte à l’incompréhension de son entourage, et tout particulièrement à celle de son père.
Le roman de Chaïm POTOK traite en réalité de nombreux thèmes universels: la religion, l’art, l’éducation familiale et sociale opposée à ce qui nous passionne. C’est à l’âge adulte que nous rencontrons Asher, prêt à nous raconter sa quête identitaire : comment il est devenu Asher Lev l’artiste, Asher Lev le juif hassidique, Asher Lev l’exilé. Nous suivons avec attention la complexité de cette famille dont les membres ne se comprennent pas et dans laquelle il est difficile d’être soi-même sans faire souffrir les autres.
J’ai découvert cette histoire lors de ma formation artistique; à cette période je commençais à construire mon artiste, et à chercher la limite entre elle et moi – peut-on séparer sa personne de son artiste ? Plus qu’un métier, c’est une vraie passion qui déteint sur notre quotidien, et peut devenir notre préoccupation centrale. Chaque jour est pour le comédien, comme pour le dessinateur, une cour où l’on observe, imite, reproduit. Le parallèle entre l’évolution d’Asher et ce que j’étais en train de traverser était une évidence. Ma famille est de confession juive, mes parents sont non-pratiquants mais ils m’ont laissé le choix. Très jeune, je me suis posée la question de la spiritualité, et me la pose encore. Libre de mes choix et de mes croyances, je sens le poids des traditions, ne veux décevoir personne tout en me restant fidèle, et je suis à la fois fascinée et effrayée par ce monde et par tout ce qu’il peut impliquer… Tant de questions que l’on peut prendre toute une vie à y répondre.
Ces questions fondamentales, ne traitent pas forcément de la religion, mais aussi du milieu où l’on naît, de la façon dont on nous éduque et comment cette éducation est confrontée au monde dans lequel on évolue. C’est pour cela que le roman de Chaïm POTOK, et par la suite, sa version scénique, a touché tant de monde. En gardant Asher Lev comme narrateur de sa propre histoire, le spectateur est interrogé directement, personnellement, il est autant acteur que témoin: Asher Lev ouvre le débat en nous contant son histoire. Pour autant, le spectacle ne se termine pas à la fin de son récit, il continue avec la réponse que chaque spectateur pourrait apporter, en comparant ce qu’il vient de vivre à sa propre trajectoire. Cette histoire résonne en nous, qu’on soit un jeune et qu’on cherche sa place, qu’on soit un adulte ayant traversé cette épreuve parfois chaotique, et peut-être maintenant confronté à celle de ses enfants… C’est la force de cette histoire si personnelle et en même temps universelle.
En effet, bien qu’ancrée dans une communauté finalement peu connue du grand public, l’universalité du propos nous parvient, comme nous avons pu le constater avec le succès de la série Unorthodox sur Netflix. Cette série raconte le destin d’une jeune femme voulant se libérer du poids de sa communauté juive ultraorthodoxe de Brooklyn. Son histoire ressemble en certains points à celle d’Asher Lev.
J’ai travaillé sur cette œuvre avec la volonté de rendre au mieux l’extrême sensibilité de ce texte qui m’a touchée de plein fouet. En cette période où le caractère essentiel de l’art est remis en question, l’histoire d’Asher résonne de plus en plus fort et j’espère avoir la chance de pouvoir la faire découvrir lorsque nous pourrons à nouveau tous nous réunir. J’espère que ce dossier pourra vous donner une idée de ce projet qui me tient tant à coeur et que vous souhaiterez raconter cette belle histoire avec nous.
Hannah-Jazz Mertens Adaptatrice et Metteuse en scène
Belle pièce intimiste, posant autant de questions qu’elle cherche à en amorcer les réponses.
Une réflexion intéressante (et inaboutie) sur les ressorts de l’art et de l’intime
Très belle interprétation de 3 acteurs profondément investis.
Remarquable prestation de Martin Karmann (Asher Lev).
Très intéressante réflexion sur ce que c’est qu’être un artiste et l’art ; la pièce apporte des réponses à ces interrogations.
J’ai passé un moment hors du temps, qui me fait me soulever plein de questions et a éveillé ma curiosité. La mise en scène rend la pièce fluide et poétique, les comédiens incarnent si bien leurs rôles qu’on fait un voyage dans le temps, au point d’oublier tout ce qui nous entoure. C’est beau et c’est puissant, et c’est aujourd’hui nécessaire.
Courez-y
Je suis sortie heureuse d’être venue. Bouleversée par toutes les questions et leurs réponses.
Émue par l’histoire si bien racontée par des comédiens exceptionnes. Merci à tous.
je les ai vu à Avignon en Juillet , suis encore sous le charme de cette histoire admirablement bien interprété
et je compte m’y rendre en janvier avec plusieurs amis
Intense et très émouvante, cette pièce est portée par le magnifique jeu des acteurs et une belle mise en scène. On comprend chacun des protagonistes et on ressent le conflit de loyauté que vit chacun. On s’interroge sur la fidélité à la tradition ds le judaïsme hassidique, le sens de la création artistique, l’écoute de ses désirs profonds confronté au sens du devoir et des responsabilités… passionnant !
De très loin la plus belle pièce du Off. Une émotion débordante… Les 3 acteurs sont habités par les personnages qu’ils incarnent et la mise en scène est d’une très grande intelligence et d’une grande poésie.
J’ai découvert cette pièce grâce à une autre jouée actuellement à Avignon et dans laquelle on retrouve Stéphanie Caillol et Guillaume Bouchède. Je suis partie à l’inconnue juste avec les informations du théatre. J’entre dans la salle et je découvre un décor minimaliste mais qui me parle. Puis, Asher Lev entre lui en scène et là, je suis absorbée par son histoire.
Martin Karmann m’a embarqué dans ses monologues mais également dans ses échanges avec Stéphanie Caillol et Guillaume Bouchède qui interpretent ses parents.
Les acteurs sont époustouflants et l’histoire fait réfléchir.
Je n’en dis pas plus pour ne rien dévoiler.
Je rajoute juste une chose : courez voir cette pièce !!!
Profondément touchée par ce spectacle. Tous les comédiens sont excellents. Martin Karmann dans le rôle de Asher est inoubliable. A voir et à revoir. Merci au Théâtre des Béliers d’avoir programmé cette pièce don la mise en scène sobre et la direction d’acteurs est réussie.
Excellent spectacle et excellents acteurs ! Guillaume Bouchède est formidable !
et le propos de la pièce interroge toutes les traditions et toutes les fidélités dans leur confrontation avec la liberté d’être et de créer.
A revoir…et sans modération!